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Date de création : 08.09.2012
Dernière mise à jour :
16.03.2020
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le blason ci-dessus est bien celui de ma famille,les fleury:il a été sculpté pour charles(karolv s) floury pri
Par Anonyme, le 04.05.2024
bonjour,la métairie de sainte catherine fut vendue comme bien national le 24 janvier 1791.
pourrie z vous m'
Par ribardière, le 02.04.2024
merci pour toutes ces informations sur une région dont sont originaires une partie de mes ancêtres mais que je
Par Anonyme, le 20.08.2021
j'admire votre site, mais ce serait mieux de retirer l'annonce de l'extinction de la famille marrier de lagati
Par de brébisson, le 16.02.2021
"marguerite charlotte" de belleville est en fait marie charlotte, et elle est née le 29 mai 1699 à niort et no
Par Olivier de Bellevi, le 28.12.2020
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SUITE DE LA PAGE 1
RUE DE L’EGLISE
Le nouveau tracé de la rue de l’église a été décidé par la municipalité en 1832, des riverains ont reçu une parcelle permettant ainsi d’agrandir leurs
Habitations.
Au N° 10, dans le renfoncement, la maison de « l’Amiral Clochard », 1er batelier de Coulon pour touristes.
A l’angle de la rue du Cul de la cure, se trouvait la 1ère maison de la coutume et aussi le 1er port avant la déviation de la sèvre. Cette nouvelle maison était la cure jusqu’en 2018.
Or, les gens de Coulon, maraîchins traditionnels, s’opposaient à cette activité commerciale. Au bout de quelques jours, Clochard a cessé les promenades pour éviter les moqueries. Le syndicat d’initiative l’a pourtant convaincu de poursuivre l’aventure du tourisme dans le marais. D’abord simple intermédiaire, il a exercé sous son nom à partir de 1913. Son surnom « l’amiral Clochard » viendrait de l’expression « amiral d’eau douce » utilisée dans la presse en 1921 et reprise par le ministre Vigier lors de sa visite.
L’avenir donna raison à l’amiral, c’était une bonne idée pour l’époque puisqu’au détour d’une balade, le touristes étaient surpris de recevoir le bonjour retentissant du boulanger dont l’écho allait se perdre sous la voûte sombre des frênes, de s’écarter prudemment pour laisser passer deux ou trois génisses peu rassurées sur le grand « batai piat » de 22 pieds que poussaient à la pigouille deux maraîchins, de voir surgir de la brume la barque du boucher débordante de la bonne viande de ces bêtes élevées au (cœur des marais, et aussi, quelquefois, de devoir ôter son chapeau devant ce mort qui rejoignait sa dernière demeure par les chemins d’eau qu’il avait si souvent fréquentés, suivi par la famille et les amis, endimanchés pour la circonstance dans une longue cohorte noire de bateaux plats fendant lentement le vert des lentilles d’eau. Mort en 1949 à 93 ans, l’amiral Clochard avait bâti une véritable entreprise de batellerie
ANCIEN PORT(au niveau de l’ancienne cure) l’eau arrivait jusqu’au n°14 rue de l’église, premier port, mais difficilement praticable par les Gabares, car l’ancien lit de la Sèvre serpentait dans Coulon, d’où le déplacement du Port vers la coutume et par la suite un nouveau tracé de la rivière (1808).
VENELLE DU CUL DE LA CURE
Ancienne porte du Port de la cure. Cimetière autour de l’église fermé en 1850 sur emplacement d’un cimetière mérovingien qui s’étalait jusque au début de la rue de l’église ; sur le cimetière actuel, une tombe date de 1780.
PLACE DE L’EGLISE
EGLISE
DEVANT LE « CAFE SOCIAL » ANCIENNEMENT « LE TERMINUS », » LA VENISE VERTE »
PLACE D’ANIE
Autrefois, au 19ème siècle, des foires très importantes avaient lieu sur cette place (place du champ de foire) avec 400 bêtes, des commerçants et une quinzaine d’Auberges pour les recevoir sans compter les artisans indispensables lors de ces évènements. Le marché au porc avait lieu place de la pêchoire déplacé par suite place de la coutume.
Texte sur l’ode à l’ail de Louis Perceau :
A la gloire de l’ail poitevin
PETITE RUE DE LA PECHOIRE
PLACE DE LA PECHOIRE
Lieu des Pêcheries et le moulin à eau de Payré.
En 950, les Normands(vikings) venant du nord (leur Q.G. était sur l’île de Noirmoutier) arrivés par la Sèvre saccagèrent Coulon. Le comte du Poitou Ramnulf et le Comte d’Herbauges,les ont battu à port Brouillac (grand coin).
Une tour en bois, appelée « château Gaillard » a été édifiée place de la pêchoire (à l’emplacement de l’actuel salon de coiffure, maison Couture, médiathèque et Café Social) pour protéger la population des invasions. Elle a été démantelée au Moyen Age.
Au 13ème siècle, un moulin à eau existait sur cette place, car la sèvre y passait. Dans l’aveux de 1583 : il est appelé le moulin de Payré.
Vieille tradition : La chasse au Bitard
« mauvaise plaisanterie faite aux domestiques un peu niais ou à des personnes nouvelles dans le bourg….En général par une nuit très froide, les parsonniers les menaient dans la campagne, en les faisant tourner en rond pour en faite n’être pas très loin du bourg et les postaient avec un sac tendu à la « musse » du passage du « bitard » sorte de gros lièvre, qu’ils disaient bien connaître, puis, sous le prétexte de battre les alentours pour débusquer l’animal, ils allaient tranquillement se coucher, promettant au guetteur un succès certain s’il restait bien immobile. Le malheureux, las d’attendre, finissait par rentrer avec son sac vide, à demi mort de froid. »
RUE DU CHATEAU BAS
Appelée ainsi certainement en réminiscence de « Château Gaillard ».
Un bras de la Sèvre passait rue du château bas, avec un petit Port desservant deux venelles où leur bateau était amarré : la cale.
VUE SUR RUELLE DU CHATEAU BAS
VUE sur la rue Vérineau :un des nombreux noms d’emprunt de Louis Perceau.
Puis une autre venelle,et on arrive en bord de Sèvre avec à droite :
LA SEVRE ANCIEN TRACE, LA DIVE
LA SEVRE NIORTAISE
RUE VERINEAU
QUAI LOUIS TARDY
Louis Tardyfut, Maire de Coulon de 1947 à 1961, né place de la Coutume dans l’ancienne maison de la Coutume en 1875. Il fut en 1894, l’un des fondateurs de la caisse nationale du Crédit Agricole qui est devenu « le groupe Crédit Agricole ». Il est décédé en 1961 à l’âge de 86 ans. Humaniste reconnu.
Au 10 quai L. Tardy : œil de bœuf et égouttoir en dessous.
N° 32 et 40 : œil de bœuf
Une école libre est ouverte à l’initiative du Curé Pascal Chartier qui s’installe à Coulon, avec quelques difficultés politiques : droite/gauche s’affrontant à ce sujet.. inaugurée en 1899 et ouverte jusqu’en 1941. Détruite depuis.
LE GRAND PONT
* Thomas Hippolyte MAIN
Une rue, près du pont de Coulon porte son nom. Issu d’une célèbre famille de chamoiseurs niortais depuis 1635 ; il hérite d’une partie de la fortune familiale et de l’insdustrie de la chamoiserie niortaise.
Vieille tradition racontée aux enfants pour ne pas qu’ils s’approchent de l’eau et de ses dangers « Le bras rouge » ou « main rouge » était souvent évoqué sur le cours de la Sèvre et surtout dans le marais poitevin. Cette main ensanglantée surgissait de l’eau pour saisir les enfants s’approchant trop près du bord et les entraînait au fond.
RUELLE DU FOUR
Au N° 11 on peut voir un égouttoir extérieur.
un puits communal
Le petit bâtiment en pierre était « un toit à cochons »
RUE DU FOUR
Cette rue s’arrêtait au four, elle a été prolongée lorsque la douve a été comblée en 1850.
Les maisons ont remplacé les petites cabanes. 18 cabanes ont brûlé dans un incendie en 1801, ce qui a entraîné les habitants à la mendicité.
Place triangulaire, le four banal a été abandonné au moment de la révolution. Il servait autrefois à la cuisson du pain des habitants qui payaient une redevance (droit de ban) au seigneur propriétaire du four.
Le « fournage » était un privilège féodal exercé par le seigneur pour ceux qui se servaient du moulin, du four et puits banal,
La Rue du Four s’arrêtait là, au niveau de l’ancien four.
Louis Perceau est né le 22 septembre 1883 à Coulon. Apprenti tailleur d’habits au sein de l'entreprise familiale il découvre assez tôt la poésie de Malherbe et le goût des histoires gaillardes de son grand-père.
Les "Contes de la Pigouille" (1915) sous un pseudo, sont le témoignage de cette enfance heureuse au pays des eaux, et seront publiés à partir de 1915, en feuilleton dans le journal "L'Humanité".
En 1901, Louis Perceau, le tailleur, monte à Paris : il découvrira le Montmartre bohème et chansonnier, les mouvements anarchistes et socialistes qui feront de lui un homme nouveau et engagé dans une vie politique et littéraire, tonitruante et visionnaire de ce siècle naissant.
Sous divers pseudonymes la poésie érotique et les contrepèteries seront ses domaines de prédilection aux côtés de Guillaume Apollinaire et Fernand Fleuret (l’un de ses pseudos est Alexandre de Vérineau, Louis Alexandre Rode, Ludivico Hernandez, Helpey…. )
De tous les combats, militant actif de la 1ère heure socialiste, résistant redoutable à l'occupant fasciste, il s'éteindra à Paris le 20 avril 1942 alors même que Radio Londres diffusait ses contrepèteries.
RUELLE de la coulonnerie
RUE DE LA GATINERIE
Du nom de la métairie qui s’y trouvait. Cette propriété de 60 hectares environ en 1685 a appartenu successivement à
RUE DU PETIT LOGIS
Le petit logis était la maison noble située autrefois dans l’impasse du même nom fut reconstruite au XVIIIème siècle. Il n’en subsiste qu’une partie, la maison et les dépendances de l’autre côté de l’impasse faisaient partie de ce logis.
Avant la révolution, elle était le fief du marais, dont le dernier seigneur fut Mr de Montbrun.
Au n° 3,œil de bœuf horizontal, datant de 1648.
RUE DU MARAIS
Où se trouvait le fief Payré(en face de la coop)
A l’origine, le payré était le gué traversant la douve.
Au début du siècle dernier, on y trouvait des menuisiers, des maréchaleries, des bourreliers,
Emile Thibault, dernier d’une lignée de maréchal ferrants, compagnon du tour de France était capable d’avaler des quantités importantes de vin, pernod, gnole, huile de vidange, seau de vin, anguilles vivantes. A midi, il avalait 12 pernods avec les 12 coups de l’horloge, en mesure…
RUE DU COLOMBIER
C’est le tracé de l’ancienne douve comblée.
Un colombier se situait en face du crédit agricole actuel, dans le jardin du curé devant l’église.
A l’emplacement de cette rue (pigeonnier) coulait la dyve qui se jetait dans la sèvre par la rue de Couhé.
Petit conte
Le haricot : Qui vient au monde sous la chemise et chante en mourant ??? le PET
Un plant, inconnu dans le pays. La graine avait été apportée par le vent d’un pays lointain et mystérieux. Cette graine, en germant, avait donné des cosses pareilles à un écrin qui enfermait des grains blancs, ovales et plats, comme des perles et qui donna ce merveilleux haricot, « les mogettes de la Venise Verte », que l’on peut appeler « les haricots musiciens »
ROUTE DES BORDS DE SEVRE
Le 2 MARS 1902, le Conseil Municipal de Coulon vote l’établissement d’une chemin de hallage reliant Coulon à la Passerelle d’iRLEAU, la route longeant la Sèvre n’étant pas carrossable, c’est pourquoi les commerçants passaient en barques pour livrer la Sotterie…il sera maintenant relié au bourg par une route bien entretenue.
Coulon produit toujours une excellente bière sous le nom de « tête de mule », la brasserie se trouve dans les anciens locaux de la laiterie, en face du parking de l’Autremont.
PLACE IRCHESTER
RUE DE COUHE (autrefois la dive qui se jetait dans la sèvre)
Et petite impasse pour rattraper la MAISON DE LA COUTUME
FIN
j'admire votre site, mais ce serait mieux de retirer l'annonce de l'extinction de la famille Marrier de Lagatinerie : le décès de mon oncle Landry n'a éteint que la branche cadette, issue de son père Bernard. La branche aînée, issue de Jaques, Officier attaché à l'ambassade de Londres en 1940,passé au service du général de Gaule à la suite de l'appel du 18 juin.Son fils et son petit fils se sont installés en Italie - ce dernier, Guillaume, avait participé à la dernière réunion de la famille issue des six soeurs de Jacques et Bernard - voir la généalogie sur les sites Roglo ou PierfitAmicalement
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